Une difficulté scolaire, sociale ou comportementale est le fruit d’un dysfonctionnement dans la prise d’information ou dans l’élaboration d’une réponse (cf. Les fonctions cognitives).

Alors, à l’aide de tests nous avons identifié quelle phase pose problème et à quel niveau exactement se situe le blocage. 

Ainsi, il sera possible de proposer des exercices précis et adaptés à chaque problème afin de remédier à ces difficultés efficacement et rapidement. Le sujet pourra retrouver une pleine autonomie.

Les bilans comprennent donc les comptes-rendus des tests auxquels nous intégrons les causes des dysfonctionnements et des solutions et recommandations pour y remédier.

Chaque personne évolue et agit selon un mécanisme interne (profil cérébral), créé par sa nature et son vécu. Ce mécanisme ne peut pas être suffisamment complet pour répondre à toutes les situations.

Les scientifiques ont établi, il y a plusieurs siècles, que l’Ordre émis pour bouger un de nos membres, émanait du cerveau. De plus, le mécanisme interne du cerveau se traduit dans celui-ci par une construction neuronale précise. Ainsi, à l’aide de ces deux constats, de nombreuses recherches ont permis de relier les mouvements instinctifs d’une personne à sa construction neuronale. Une fois, la construction neuronale identifiée, il est possible d’identifier les sens qui sont en capacité de saisir une information pour l’intérioriser.

Aussi, le profil cérébral permet de connaître nos réactions en situation de stress. Par exemple, sous l’effet du stress, une personne peut ne plus être en capacité d’entendre ce qu’on lui dit ou lui montre. En effet, chacun aura une réaction différente qui dépendra de ses sens dominants. Chacun des 5 sens sera privilégié à droite ou à gauche, lors de la prise d’information, en situation de stress ; ce qui crée différents profils cérébraux. Ainsi, une personne, en situation de stress, utilisera plus son œil droit pour fixer, son oreille gauche pour entendre, sa main gauche pour communiquer et son pied gauche pour s’engager dans l’action ; tandis qu’une autre aura plutôt, comme dominance l’œil, l’oreille et la main gauche et le pied droit.

Être efficient dans chacune des fonctions cérébrales permet à chacun, de contrôler son apprentissage :

Ne pas enregistrer seulement le bon résultat, mais être aussi capable de retrouver le processus qui nous a conduit à la réussite. Et par conséquent, pouvoir reproduire ce bon fonctionnement dans d’autres situations semblables – et ainsi maîtriser sa réussite.

De plus, en cas d’échec, nous serions capables de faire marche arrière et rechercher d’où provient l’erreur dans le processus mis en place. Une fois l’erreur décelée, il sera possible de rectifier sa réponse afin d’obtenir le résultat attendu et ainsi capable de s’auto corriger.

Il y a deux phases bien distinctes depuis la perception d’une information, de données, jusqu’à la résolution d’un problème :

1. Prise et traitement de l’information.

La première phase est le traitement de la prise d’information. Une fois, les données collectées (perception détaillée) et décoder ce qui est perçu par nos sens (perception globale), il y a un traitement des informations recueillies pour les assimiler (c’est-à-dire les traduire en représentation mentale afin de stocker ces données et faciliter leurs récupérations ultérieurement), puis on les monte en abstraction et on les mémorise en concept et principe.

2. Élaboration d’une réponse.

La deuxième phase consiste à définir le problème, piocher les informations pertinentes dans sa mémoire, pour élaborer une solution adaptée. Alors, le résultat pourra être exprimé et extériorisé, en tenant compte du contexte.